close

Magazine

ArchivesHorlogerieMagazine

Montres : Toutes, terriblement !

blakemag_montre_Alpiner_Extreme_ Regulator_ Automatic

Montres, on vous aime ! Premier volet de cette semaine dédiée à l’horlogerie, découvrez les modèles qui nous ont fait tourner la tête !

Alpina – Alpiner Extreme Regulator Automatic :

Modèle de montre phare révélé en 2005, l’Alpiner Extreme Regulator Automatic revient, aujourd’hui, sous un nouveau jour dans la collection de la manufacture horlogère suisse Alpina. Distinctive par son affichage dissocié des heures, minutes et secondes, elle arbore, pour la première fois, un boîtier au diamètre plus compact (41 mm) paré aux conditions les plus extrêmes, tel que son nom l’indique. Toujours rythmé par le calibre automatique AL-650, ce garde-temps racé au cadran exclusif est édité en série limitée à 888 exemplaires.

Daniel Wellington :

L’Iconic Link Automatic est une montre dotée d’un mouvement à remontage automatique, alimenté par le mouvement de votre poignet. Le cadran noir lumineux est doté d’index et d’aiguilles qui brillent dans le noir, d’un affichage de la date agrandi et est étanche jusqu’à 100 mètres. Verre saphir résistant aux rayures à l’avant et à l’arrière de la montre, avec un fond de boîtier d’exposition qui expose le mouvement automatique à l’intérieur.

DOXA Army :

DOXA lance la montre DOXA Army en acier en version non limitée. Un modèle très attendu par toute la communauté DOXA. La DOXA Army en acier est déclinée en deux versions de lunette, pour la première fois en bronze avec insert en céramique hunter green ou en acier avec insert en céramique noir.

Philippe Plein Skull :

La montre Skull de Philippe Plein. Boîtier acier noir brillant de 44 mm avec un cadran noir et une tête de mort or au centre. Le bracelet est en silicone noire.

HERBELIN – Newport Carbone Titane

HERBELIN a conçu pour la Route du Rhum un garde-temps automatique paré contre les situations les plus extrêmes : la Newport Carbone Titane.
Edité en série limitée à 500 exemplaires numérotés, cette montre chronographe doté d’une fonction compte à rebours de régate promet d’être un coéquipier fiable sur qui compter pour repousser les limites du possible et donner l’envie de réaliser les rêves les plus audacieux. Bon vent à ce bolide de course high tech par ses matériaux, horloger par ses fonctions, racé par son design.

Entrer
LifestyleMagazine

God of War Ragnarök, visite aux pays des dieux nordiques

ragnarok-poster

La suite de la série des God of War vient de voir sortir son dernier volet : God of War Ragnarök. Pour ceux qui ne connaissent pas la série, cest un jeu vidéo d’action-aventure développé par Santa Monica Studio et édité par Sony Interactive Entertainment. Il est sorti très exactement le 9 novembre 2022 sur PlayStation 4 et PlayStation 5, en exclusivité. Ce God of War Ragnarök est le neuvième épisode des God of War, il fait suite à l’épisode God of War de 2018 ayant marqué un renouveau dans la série en se basant sur la mythologie nordique et non plus sur la mythologie grecque, et en voyant l’arrivé d’un compagnon de route pour Kratos, notre héros, en la personne de Atreus, son fils. Dans ces jeux c’est là que repose toute la beauté et la puissance de ces titres, une découverte ou redécouverte des mythologies antiques et de leur panthéon, le tout avec un jeu épique, brutal, et émouvant. Si si, Santa Monica Studio arrive à faire cohabiter ces deux états d’être.

 

L’Histoire (sans spoiler)

 
Après avoir sauvé Midgard des Valkyries dans l’épisode de 2018, Kratos et Atreus doivent parcourir les Neufs Mondes de l’Yggdrasil pour tenter d’éviter que ne se produise le Ragnarok :  qui est le Crépuscule des Puissances où le monde actuel s’effondrera pour donner naissance à un monde nouveau, et où se déclencheront alors les guerres entre les Dieux et les Géants de la glace sur le champ de bataille nommé Vigrid. Bref, la fin du monde.
 
L’histoire de cet épisode God of War Ragnarök commence en plein Fimbulveter, le grand hiver qui précède le Ragnarok. Et l’on retrouve tous les décors de l’opus de 2018 couvert d’un épais manteau neigeux, ce qui le transfigure. Alors vous me direz : « oui mais c’est de la réutilisation, on découvre rien, pas de surprise, pas d’évolution ». Et bien détrompez vous ! Le bestiaire des ennemis est dense et renouvelé, les paysages sont nouveaux et bousculés dans bien des lieux, on rencontre d’autres dieux du panthéon nordique, autant d’interactions et de possibilités nouvelles pour Kratos et Atreus. Cette fois Kratos démarre avec la hache Léviathan, les lames du Chaos, ainsi que le bouclier Gardien, Atreus toujours avec son arc pour assister son père. 

 
Si vous n’avez pas fait l’épisode de 2018, le jeu propose un résumé des aventures de Kratos et Atreus, cependant si vous voulez comprendre tous les tenants et aboutissants de l’histoire, les nombreuses références et liens entre les protagonistes, jouer à God of War  2018 sera un véritable plus. Car l’histoire de ce God of War Ragnarök  est dense et va se complexifier au fur et à mesure de l’aventure et les enjeux entre les personnages sont forts. Rassurez-vous tout de même car la narration est si prenante que vous vous plongerez dans la vie de Kratos et Atreus quoi qu’il arrive.
 

Le gameplay

 
On retrouve toutes les fonctionnalités du précédent épisode. Le jeu est fluide et on le prend vite en main. Il existe 5 modes de difficulté, comme autant d’options qui vont permettre d’approcher le jeu de la manière dont vous le souhaitez : 
  1. Donnez-moi une histoire: pour ceux qui veulent se concentrer sur l’histoire plutôt que sur le combat.
  2. Donne-moi la grâce: pour ceux qui veulent se concentrer principalement sur l’histoire en mettant l’accent sur le combat.
  3. Donnez-moi l’équilibre: pour ceux qui se soucient autant de l’histoire que du combat.
  4. Ne me donne aucune pitié: pour ceux qui souhaitent relever des défis.
  5. Donnez-moi God of War: pour ceux qui veulent God of War Ragnarok être l’expérience la plus difficile possible.

On peut changer ces modes durant le jeu à l’exception du dernier mode God of War, car si il est désactivé vous ne pourrez plus y revenir.
 
La grande est belle nouvelle de ce God of War Ragnarök, c’est de que Santa Monica Studio à repris le chemin du grandiose et de l’Épique avec un E majuscule : on retrouve beaucoup plus de combats puissants, contre des bêtes énormes et parfois gigantesques, une signature des premiers épisodes, mais aussi plus de challenge avec un plus grands nombres de mini boss intermédiaires. Et le jeu gagne en puissance et en entrain. Le beats them all est là mais aussi le décryptage des techniques des adversaires les plus coriaces pour pouvoir les dépasser. Sinon rien de nouveau et certain le reproche à la licence, nous non, il y a des combats, des QTE : cinématiques avec des actions à faire avec le bon timing, c’est du beau et du bon God of War.
Et vous aurez des surprises pour ce qui est des personnages et des possibilités de jeux.

 

Les graphismes et la bande son :

 
Les graphismes sont superbes, les effets de neiges sont beaux, les couleurs des différents mondes chatoyantes (on la testé sur PS5 et c’est très beau de lumières et de brillances), les expressions des protagonistes fines et réalistes. Le soin apporté à la faune innombrable et la flore luxuriante, cela fourmille de détails à l’écran : des papillons, des lézards, toutes sortes d’insectes, des oiseaux petits et grands, et j’en passe. Pour la végétation, le même soin de détail, des couleurs multiples et des variétés nombreuses, on se prend à s’arrêter de jouer pour scruter ce monde de God of War Ragnarök. Les voix et le jeux d’acteur sont toujours au rendez-vous, notamment le doublage français, qui est excellent et nous immerge dans l’aventure. On est happé et on se prend d’affections pour les différents personnages que l’on croise et les dieux que l’on côtoie. Les musiques sont symphoniques, grandioses, et soutiennent parfaitement toutes les phases du jeu. Pas de sentiment de lassitude, jamais. Une grande aventure digne d’un péplum magistral. 

 

Conclusion

 
God of War Ragnarök est une aventure épique sublime et entrainante, à faire absolument, Santa Monica Studio est parvenu à aller plus loin, à nous faire découvrir encore plus de cette mythologie Nordique, et pour notre plus grand bonheur. On est exalté par les phases de combats qui peuvent selon la difficulté être physique manette en main. On voit la relation Kratos et Atreus évoluer et leur psychologie changer au fur et à mesure de l’avancée de nos héros. Préparez vous à vivre une claque magistrale sur cet opus, mais shuuuutttt on ne vous en dit pas plus.

 
Article écrit par Alexis Dumétier
Merci à Sony Playstation de nous avoir permis de réaliser cet article.
Test réalisé sur Playstation 5 avec un écran Viewsonic XG270QC
 
 
 
Entrer
ArchivesLifestyleMagazine

Une trottinette Premium : la Niu Kqi3 Pro

IMG_1495

 

On a testé la Kqi3 Pro, de chez NIU pendant plusieurs mois, sur route, sur chemin, par temps de pluie, voir averse lourde et aussi avec un grand soleil. Voici pour vous notre avis complet sur ce modèle.

Allure générale

On reçoit la trottinette de NIU parfaitement emballée, soutenue et maintenue par de gros polystyrène, des plastiques de protection, bref emballage soigné, qui donne immédiatement une sensation premium.

La trottinette propose un deck (la surface où l’on peut mettre ses pieds) très large et rassurant, 55 cm de long par 20 cm de la large pour la partie plane,  avec à l’avant et à l’arrière des plateformes relevées pour pouvoir y prendre appuie sur les phases de freinages et d’accélération. Le guidon est large et permet une bonne prise en main. Les grosses roues de 9,5 pouces laissent imaginer des trajets sécurisants grâce à la tenue de route même sous la pluie. La Kqi3 Pro est constituée d’un châssis tubulaire en aluminium. La finition générale est soignée : le phare avant rond à Led fait un bel effet et le petit saute vent, bien qu’inutile , donne une touche design sur ce guidon.

Une fois que l’on s’approche de ce véhicule et qu’on le plie pour le porter on remarque son poids 20 kilos, qui en fait une trottinette peu pratique dans les déplacements, surtout que sa taille globale est massive, plus de 1,20 mètre de haut et 1,10 mètre de long, ce qu’elle gagne en confort elle le perd en compacité. On ne peut pas tout avoir. Mais si la trottinette affiche ce poids sur la balance c’est qu’elle a un atout majeur : sa robustesse.

Comportement sur route :

La Kqi3 Pro possède un guidon incliné à 75 degrés, ce qui permet une gestion de la direction plus fine, moins abrupte que sur les modèles ayant le guidon perpendiculaire à la route, et cela apporte un confort indéniable et une manœuvrabilité très appréciable en environnement urbain.

Les roues massives de la trottinette sont « tubeless », ce sont des pneus sans chambre à air. Ce système amoindrit les risques de crevaison. De plus, les tubeless offrent une meilleure étanchéité, un amortissement plus confortable et une meilleure accroche à la route. Ce qui palliera en partie à l’absence de suspension.

Le gros point fort de la Kqi3 Pro, c’est son système de freinage, avec de grands freins à disques à l’avant et à l’arrière, à double piston. Grâce à cela, la Kqi3 Pro freine fort, et c’est indispensable dans certaines situations. Elle freine tellement bien qu’il faut apprendre à le doser pour les utilisateurs novices.

Son moteur, situé dans la roue arrière, d’une puissance de 350W pouvant monter à 600W sur 30 minutes, et sa batterie de 486 Wh, permettent une vitesse bloquée à 25 km/h (législation oblige) atteinte avec efficacité. La trottinette pour peu que vous soyez sur l’arrière pourrait même cabrer.

On a pu tester la trottinette sous la pluie, sur route détrempée, et c’est aussi là que la Kqi3 Pro montre sa force, elle est très stable et tient la route parfaitement. En tant que nouveau moyen de déplacement urbain, la pluie est un facteur régulier à prendre en compte et la Kqi3 Pro affronte les intempéries avec sécurité.

Résistance pluie et saletés

Niu débute sur le marché des trottinettes, mais est un des leaders chinois sur le marché du scooters. La Kqi3 Pro profites de cette expérience. Ils sont donc performant sur les finitions (soudures, freinage, lumières,…) mais aussi sur la capacité à protéger les systèmes électriques de l’eau et des saletés. La Kqi3 Pro répond aux normes IP54, qui est une norme liée aux résistances saleté, pluies et poussières. Pour avoir emmené la trottinette sur piste caillouteuse, sableuse, et détrempée, ce véhicule encaisse toutes ces intempéries et cela n’altère pas son fonctionnement.

Les systèmes lumineux :

Le phare avant rond à Led est joli, il est la signature lumineuse NIU, que l’on retrouve sur leur scooter d’ailleurs. La Kqi3 Pro possède deux options : un allumage classique et un pour la nuit. L’éclairage est puissant et utile. La position nuit permet d’être vue, mais aussi de voir correctement le revêtement et les obstacles éventuels.

Pour ce qui est de l’écran sur le dessus de la trottinette, il est petit, il affiche votre vitesse (en Km/H ou mph/H), la charge de batterie et si vous êtes en « plein phare ». Sobre, suffisamment lumineux pour être lu.

L’Autonomie :

Le constructeur affiche une autonomie de 50 km en pleine charge. On a constaté en utilisation Paris intramuros et extramuros que l’on s’approche plutôt de 18-22km, en roulant en quasi non stop à 25 km/h. Il faudra compter 6h pour une recharge complète de la batterie.

Appli dédié

Comme nombre de ses trottinettes électriques, la KQi3 Pro posède une appli dédiée, Niu E-Scooter, elle permet d’accéder à diverses informations et statistiques relatives aux trajets effectués. C’est aussi le moyen de profiter des dernières améliorations via les mises à jour proposées « Over The Air » ou d’ajuster certains paramètres selon vos préférences comme le niveau de freinage régénératif (3 niveaux). Une fois connecté à l’appli, il ne sera pas utile de la lancer pour démarrer la Kqi3 Pro, simplement d’avoir le téléphone sur vous et le bluetooth activé.

 

Attention :

Lorsque vous laissez la trottinette arrêtée pour une nuit, veillez à activer le levier de frein plusieurs fois en roulant sur les premiers mètres pour relancer le système de freinage, sinon vous risqueriez le tout droit. Au bout de quelques pressions, vous retrouverez le mordant des freins à disques.

Conclusion :

Cette Kqi3 Pro est un superbe moyen de mobilité urbain, fiable, solide et au comportement routier rassurant. C’est une belle trottinette. Son rapport qualité / prix est parfait à moins de 600 euros. Aujourd’hui dans Paris que vous soyez en 2 roues ou derrière le guidon de cette trottinette les trajets seront similaire en terme de durée. Cela en fait une véritable option urbaine.

D’autres possibilités de déplacements électriques :

Pour ceux qui ont peur de la trottinette, mais qui veulent un petit véhicule électrique de mobilité urbaine, Biro a sorti le plus petit véhicule électrique quadricycle du monde, une sorte de voiture de golf pour ville. Elle existe en différentes versions et finitions.

 

Et pour ceux qui préfèrent rester en 2 roues, des français du pays basques ont sorti la Xubaka, une moto électrique qui sent bon le surf et les étés sur la plage. Très low ride dans l’esprit pour la ville, mais fun.

Article écrit par Alexis Dumétier, réalisé grâce au concours de NIU.

https://www.niu.com/fr/product/kqi3

Entrer
ArchivesMagazineNews de Mode

Lee Jeans & Schott NYC : le style américain

SCHOTT x LEE _ HUGOLECRUX-18

Entre le style flyboy new-yorkais de Schott et le workwear authentique du Midwest de Lee Jeans, cette toute nouvelle collaboration représente la quintessence du style américain.

Lee Jeans et Schott NYC se sont associés pour créer une collection dans laquelle s’incarne l’histoire américaine. Le résultat est une gamme complète de quatre vestes uniques, accompagnées d’une série de t-shirts et d’un couvre-chef. Puisant ses racines au cœur des U.S, cette collaboration unit deux marques qui peuvent se vanter d’un héritage remontant à plus d’un siècle.
Fondée en 1889, Lee Jeans cumule une histoire et un savoir-faire riche en innovations dans le domaine du denim mis en lumière par ses jeans, ses vestes en denim, mais aussi par ses pièces workwear iconiques.

De son côté, Schott NYC voit le jour en 1913, une date permettant à la marque américaine de cumuler des archives outdoor inestimables, telles que ses vestes « aviator » ou « bikers ».
Jouant sur les forces des deux marques, la capsule présente quatre vestes emblématiques qui combinent leur expertise en matière de design pour créer des pièces modernes, riches en références d’archives.

Les quatre pièces maîtresses
Lee recrée la veste de vol « Pilot » classique A-2 en denim et ajoute un col sherpa amovible. Elle s’accommode de deux poches à rabat et d’une poche zippée sur la manche gauche, tandis que l’ourlet et les poignets côtelés sont teints en indigo.
Une veste en peau de mouton retournée noire, baptisée « LC B3 Lee », s’inspire du style des aviateurs de la Seconde Guerre mondiale. La veste se démarque par sa poche frontale et son logo Lee vintage. Une doublure « cosy » apparaît au niveau du col et des poignets.


S’inspirant de l’emblématique veste Lee Storm Rider, le blouson « LC Storm Lee » reprend des détails héritage : une coupe ajustée, un empiècement incliné, des poches jumelles aux coutures zigzag, le tout conçu à l’aide d’un cuir premium.
Enfin, une veste Letterman inspirée des universités, la « LC Vars Lee », associe un denim à des manches en cuir marine pour une version intemporelle de la veste préférée des étudiants.

Pièces collector

A ces quatre modèles de vestes, vient s’ajouter deux styles de T-shirt, disponibles en trois couleurs : marine, blanc et noir, et la pièce phare collector est un bob co-brandé fabriqué à partir d’un denim coton/chanvre qui marque le passage des deux marques à une production plus durable. Réalisé dans un style indigo brut, il est brodé avec les logos des deux marques.

Entrer
ArchivesMagazine

L’Accor Arena reçoit le Tennis à Paris

IMG_1155

L’Accor Arena est une salle mythique de spectacle, d’événements mais aussi de sport depuis le 3 février 1984, inauguré par Jacques Chirac, alors maire de Paris. Cela fait quasiment 40 ans que ce lieu fait vivre des moments exceptionnels à des milliers de spectateurs. La salle principale peut contenir plus de 20 000 personnes pour des shows hors norme : Des concerts d’anthologie, U2, Sting, Scorpion, Les Fugees, Johnny Halliday, Jay-Z, Dua Lipa, les stars françaises ou du monde entier viennent y faire vibrer les foules. Mais aussi du sport : de mondiaux cross, en passant par les finales de Hockey sur glace, ou encore la NBA ou L’ATP. L’Accor Arena est un lieu d’exception qui fait rêver tout le monde, public comme artiste et grands Athlètes.

Le Rolex Paris Master, une histoire parisienne :

L’Accor Arena, anciennement Palais Omnisports de Paris-Bercy (POPB), a déjà abrité une exhibition de tennis en 1985, en accueillant le premier Open de Paris-Bercy, du 27 octobre au 2 novembre 1986. L’objectif affiché est que ce tournoi devienne rapidement le plus grand et le plus important du monde en « indoor ».

Le premier vainqueur est l’Allemand Boris Becker, qui n’a que 18 ans et onze mois mais qui est déjà nanti de deux titres à Wimbledon. Avec 82 117 spectateurs en sept jours, le premier Open de Paris est un succès. Dès le début des années 90, le tournoi monte en gamme et devient l’évènement indoor de référence de fin d’année, avec la présence systématique de tous les meilleurs mondiaux. Guy Forget est le premier Français à s’y imposer en 1991, à l’issue d’un formidable combat remporté en cinq manches face à l’Américain Pete Sampras.

En 2000, l’épreuve est rebaptisée BNP Paribas Masters. Elle voit la victoire du Russe Marat Safin face à l’Australien Mark Philippoussis, au bout du suspense, 7/6 (8 points à 6) au cinquième set. L’année suivante voit le deuxième succès d’un joueur français, Sébastien Grosjean. En 2007, l’Argentin David Nalbandian domine Rafael Nadal dans une finale réduite pour la première fois au format des deux sets gagnants (6/4, 6/0). L’année suivante voit la troisième victoire d’un Français, la dernière à ce jour : Jo-Wilfried Tsonga fait chavirer le public parisien de bonheur en battant Nalbandian en finale. C’est là l’une des grandes particularités du Rolex Paris Masters : dernier tournoi estampillé ATP Masters 1000 de la saison, il offre les ultimes places qualificatives pour l’ATP World Tour Finals. Il peut être aussi une étape décisive dans la course à la place de n°1 mondial. Pete Sampras (1995), Marat Safin (2000), Andy Roddick (2003), Novak Djokovic (2012) et Andy Murray (2016) ont ainsi conquis la place de n°1 à Paris.

Organisé par la Fédération Française de Tennis, le Rolex Paris Masters est dirigé depuis 2022 par Cédric Pioline.

 

 

Les lieux et les surfaces:

Pour le Rolex Paris Master, L’Accor Arena offre une capacité de 15 300 places sur le court principal. Ainsi, c’est le seul tournoi parmi les Masters 1000 qui ne se joue pas dans un stade de tennis, soit un ensemble permanent de court. C’est le « plus petit » des Masters 1000 : Le court no 1 est établi dans la patinoire Sonja-Henie avec une capacité de six cents places, le court no 2 dans la salle Marcel-Cerdan et les courts d’entrainement. La surface, elle, est considéré comme étant la plus lente du circuit ATP 1000. C’est une résine GreenSet apposée sur un plancher en bois de 38 millimètres, il faut pas moins de 4 couches de cette résine pour préparer les terrains qui sont donc montés 2 jours avant le début de l’événement.

 

Voici le cours à J-2 des premiers matchs :

Le Trophée :

le trophée est un arbre en métal dit L’Arbre de Fanti, conçu par l’artiste Lucio Fanti. Chaque branche de l’arbre fait référence au tableau de progression du tournoi, avec les noms de chaque joueur qui sont gravés, le nom du gagnant étant au tronc.

Les gains pour les joueurs dans ce tournoi atteignent au total 5 415 410 euros, dont 836 355 euros pour le vainqueur du simple.

Arbre de Fanti, Photo : Philippe Montigny / FFT

L’édition 2021 du Rolex Paris Masters :

Elle se déroule du 30 octobre au 7 novembre à l’Accor Arena, et s’annonce plus passionnante que jamais. Privé du public l’an passé en raison de la crise sanitaire, le dernier Masters 1000 de la saison retrouvera cette année l’ambiance unique et souvent électrique qui le caractérise. 56 des meilleurs joueurs du circuit ont rendez-vous au Rolex Paris Masters, Nadal, Djokovic, Tsitsipas,… et point d’orgue pour le tennis français, Gilles Simon vient y faire ses adieux.

Gilles Simon, Photo : Christophe Guibbaud / FFT

Cette 36e édition du tournoi promet donc d’être spectaculaire, avec de nombreux enjeux. Le tout récent vainqueur de l’US Open, Daniil Medvedev tentera ainsi de conserver son titre à Paris, tandis que Novak Djokovic, qui détient le record de victoires au Rolex Paris Masters, essaiera d’inscrire pour la sixième fois de sa carrière son nom au palmarès de l’épreuve. La nouvelle génération, incarnée par Alexandre Zverev, médaillé d’or aux Jeux Olympiques de Tokyo et finaliste malheureux l’an passé, Stefanos Tsitsipas, Andrey Rublev ou encore Matteo Berrettini, aura également une belle carte à jouer. Pour tous, l’enjeu sera de taille, d’autant que le Rolex Paris Masters devrait jouer un rôle déterminant pour l’attribution des dernières places qualificatives pour les Nitto ATP Finals, qui se dérouleront à Turin.

Un show son & lumière

Les animations d’avant match proposées sont aujourd’hui interactive, avec la possibilité de choisir la musique qui accompagnera l’entrée des joueurs, la salle alors plongée dans le noir reprend ses allures de salle de concert, et l’arrivée dès joueurs se fait dans une ambiance survoltée et colorée, musique électro, Hip Hop ou encore rock accompagné de jeux de lumières avec des automatiques qui balayent la salle mais aussi des grands panneaux de led tout le long du terrain et des tribunes qui changent de couleurs en rythme avec la musique. La volonté d’être toujours plus innovant est devenue au fil des ans une véritable marque de fabrique du tournoi. Pour preuve le tunnel d’arrivée des joueurs a été repensé cette année, très futuriste, les tennismans semblent arriver d’une autre planète, descendant la rampe d’un vaisseau spatial.

Si l’aspect immersif et participatif avec cette appli est bien réalisé, le Rolex Paris Master offre également l’incontournable Head to Head ! Toujours plébiscitée par le public, cette animation offre à chaque fin de match au spectateur qui attrapera la balle lancée dans les gradins par le joueur gagnant du match la possibilité de jouer sur le court central avec l’un des vainqueurs du jour ! Un moment exceptionnel à vivre pour tout passionné de tennis.

Le Rolex Paris Masters en Chiffre :

56 joueurs internationaux parmi les meilleurs du circuit, 8 arbitres de chaise officieront, parmi eux, 4 Français: Aurélie Tourte, Renaud Lichtenstein, Manuel Absolu et Arnaud Gabas. 7000 balles sont utilisées durant tout le tournoi, 60 ramasseurs de balles au total durant la période du tournoi.

Novak Djokovic, Daniil Medvedev, Photo : Jean-Charles Caslot / FFT

 

Article réalisé par Alexis Dumétier

https://www.rolexparismasters.com/fr

https://www.accorarena.com/fr

Entrer
ArchivesMagazineNews de Mode

Daytona 73, l’esprit gentleman rider

Blakemag_magazine_mode_homme_Daytona73_cover

Daytona 73 est une marque de prêt-à-porter française spécialisée dans la création et la fabrication de vêtements en cuir. Au fil des saisons, la marque propose des blousons en cuir, des vestes, des t-shirts et des accessoires pour le vestiaire masculin comprenant des modèles aux coupes travaillées avec un look historiquement sportif. À travers chacune de ses collections, vous retrouverez chez Daytona 73, des modèles de caractère ancrés dans l’esprit gentleman rider.

Mode & Eco-responsable:

réputés pour leur style authentique et leur élégance, les blousons Daytona 73 sont fabriqués à partir de cuirs de qualité. La marque a mis en place une démarche qualité fondée sur le savoir-faire et l’expérience, fruit d’une trentaine d’années dans le domaine du cuir. Daytona 73 travaille exclusivement avec des partenaires de confiance et reste attentive à l’origine des peaux rigoureusement sélectionnées dans les tanneries. Ils ont à cœur de réduire au maximum l’impact de leur activité sur l’environnement. C’est pourquoi ils ont choisi de ne travailler qu’avec des usines qui respectent les normes REACh imposées par l’Union Européenne afin de limiter les risques liés aux substances chimiques, pour l’environnement et la santé. Les contraintes posées par ce règlement concernent directement la filière cuir et s’imposent aux industriels. Les substances chimiques utilisées dans le processus de fabrication d’un vêtement en cuir sont soumises à des restrictions. Selon le produit, un seuil ne doit pas être dépassé, faute de quoi sa mise sur le marché sera interdite. À ce titre, la marque a décider de bannir la pratique des bains au chrome IV des peaux, jugée trop dangereuse.

Entrepreneurs passionnés:

fous de sports mécaniques depuis leur plus jeune âge, Laurent Bézier et Vincent Chrétien ont décidé en 2003 de poursuivre l’aventure DAYTONA 73 en rachetant la marque. Tous deux spécialistes du cuir, ils unirent leur savoir-faire pour créer des collections dignes du mythe. Toujours en quête de nouveauté et d’authenticité, ils ont développé au fil des années des produits de qualité pour le vestiaire masculin. Le bureau de style de la marque s’attache à proposer des pièces uniques en surfant sur les dernières tendances. Sa marque de fabrique est de revisiter des incontournables de la mode pour les adapter à l’air du temps.

Aujourd’hui, la collection s’est agrandie, plusieurs gammes sont venues compléter l’offre initiale : vestes, t-shirts, sweats, pantalons, chemises, casquettes, sacs… Daytona 73 est distribuée à travers un réseau de 250 magasins indépendants sur le territoire français et quelques pays limitrophes. Une boutique en ligne est également disponible sur daytona73.com. Au-delà de la mode, les vêtements en cuir Daytona 73 incarnent une véritable culture, une attitude, un style de vie, une personnalité.

www.daytona73.com

Entrer
ArchivesMagazineNews de Mode

CHMPS ?! PARISSE revisite le pantalon cargo

Blakemag_magazine_champsparisse_cover

CHMPS ?! PARISSE ressort le pantalon cargo des placards pour des looks masculins so 90’s ! Longtemps oubliée, la tendance mode des années 90 fait son grand retour sur les catwalks & les shows des Fashion Week du monde entier ! Lors de la Paris Fashion Week, les plus grandes maisons de couture ont sorti du placard ce vêtement longtemps boudé et qui avait semble t-il perdu tout intérêt avec sa coupe droite et fuselée, légèrement resserrée en bas, et ses poches plaquées. Une silhouette de néo-baroudeur pour ajouter une dose de cool à sa tenue. Un joli streetwear chic qui a séduit les cool kids de toute la planète. Alors il est temps de dire bonjour aux pantalons cargo qui reviennent en force dans notre dressing masculin.

CHMPS ?! PARISSE, la marque de luxe parisienne, s’inspire de cette tendance 2022. Lors de son défilé “Un Hiver Particulier” qui a eu lieu le 27 Septembre dernier lors de la Paris Fashion Week, Chmps?!Parisse a marqué les esprits en dévoilant plusieurs silhouettes composées de pantalons cargo. Emblème du street style et de la mode urbaine, adulé des skateurs et du mouvement Grunge, il se portait à l’époque avec des tee-shirts informes et des chemises à carreaux façon bucheron Canadien. Aujourd’hui, il redevient tendance et même s’il tire son origine de la pop culture, il est désormais en cuir de couleur, blanc ou kaki, noir pour un look plus « classique ». Fini le boutonnage, il se ferme par un lien à la taille, un peu comme un pantalon de jogging. Il s’associe à un pull oversize en laine écru, ou un col roulé noir avec une veste en jeans délavée, et même si il peut toujours se porter avec des Doc Martens, associez le plutôt avec votre paire de sneakers préférées.


De New York à Londres, et de Dubaï à Tokyo ; les créations CHMPS ?! PARISSE ont été mises en vente sur le site de la marque à l’issue du défilé à Paris, capitale de la mode. La collection CHMPS ?! PARISSE va marquer vos esprits et votre garde-robe.

Entrer
ArchivesLifestyleMagazine

La nouvelle bombe d’Ubisoft : Mario + The Lapins Crétins Sparks of Hope

Mario couverture

 

Nintendo et Ubisoft sortent pour la Switch la suite du mélange détonnant et drôle de Mario et les lapins crétins, avec Mario + The Lapins Crétins Sparks of Hope. Le premier volet sortait il y a déjà cinq ans : Mario + The Lapins Crétins : Kingdom Battle.

Nos lapins déjantés, préférés, reforment une alliance avec Mario et sa team, pour un jeu tactique / RPG coloré et envoûtant. Un jeu parfait pour initier les plus jeunes aux plaisirs vidéoludique, et un RPG sous couvert de tactique (très « jeux d’échec ») pour les grands. Vous pourrez choisir entre trois niveaux de difficultés, et ceux à tout moment du jeu.

Que vous soyez fan de Mario ou des Lapins Crétins, le jeu sait une nouvelle fois brillamment marier les deux univers. La bande de Mario est là : Luigi, Peach, et une belle surprise : Bowser.
Mais aussi son univers sonore : bien des effets audio sont issus des jeux de Mario, de l’entrée dans les tuyaux au gain de pièce d’or, en passant par les « yeahh héééé » si typique de Mario. Pour la bande des « affreux » lapins, qui sont des lapins déguisés en équivalent de la team Mario, on retrouve évidemment leur univers frappadingue, et pour une fois ils parlent….on découvre alors leurs voix, par bribe, accompagnant le texte et cela est réussit; évidemment leur onomatopées caractéristique sont toujours de la partie. Vous n’avez pas fait le 1, cela n’est pas très grave, le 2 se fait sans notion du premier épisode et Les équipes d’Ubisoft ont eu la bonne idée d’agrémenter la dream team de Beep-0, un robot qui analyse votre comportement et celui des ennemis sur le terrain pour en révéler les forces ainsi que les faiblesses, et les nouvelles fonctionnalités qu’offrent le jeu au fur et à mesure de votre avancé. Pour les noobs mais pas que, c’est un allié précieux pour votre tactique d’attaque. 
L’histoire principale de Mario + The Lapins Crétins Sparks of Hope, est une histoire de sauvetage d’univers, à travers l’exploration de différentes planètes, satiné de conscience écologique. Une entité malveillante, Cursa, a plongé la galaxie dans le chaos le plus total en usant d’une énergie sombre, la Confusi-Ombre. Un pouvoir qui a des conséquences désastreuses sur l’environnement et la vie des populations des planètes de cet univers : Le soleil est éclipsé, une tempête de neige sur une montagne se déchaîne plus que de raison, bref le climat est totalement déréglé. Pour venir à bout de ce Super-Vilain il vous faut  sauver les Sparks pourchassés par Cursa. Les Sparks sont des hybrides, mi-étoile à la Mario, mi-lapin crétin, possédant chacun des pouvoirs spéciaux qui aideront au fur et à mesure votre équipe de joueurs.

Les graphismes

Le jeu est beau, n’oublions pas qu’il tourne sur Switch et cela est très raisonnable par rapport à la puissance de la machine, je dirais même plutôt bien optimisé. Un peu de scintillement par moment mais rien de désagréable, les phases de jeu sont régulièrement entrecoupées de séquences narratives et de cinématiques très bien réalisées. On s’attache à cet univers loufoque, un brin enfantin mais relaxant et doux. Cela change aussi et permet de renouer avec son enfant intérieur.

La bande son

Une partie très réussie du jeu est la musique, rien n’a été laissé au hasard, Ubisoft a recruté des grands noms de l’industrie, une véritable dream team musicale. Grant Kirkhope (Donkey Kong 64, Banjo-Kazooie 64…) est de retour comme compositeur principal et il est rejoint par Yoko Shimomura (Street Fighter 2, Super Mario RPG, Streets of Rage 4…) ainsi que Gareth Coker (Ori and the Blind Forest, Ori and the Will of the Wisps). Les morceaux pendant et en dehors des combats sont tous parfaitement composés, pas de sentiment de boucle lancinante. Des mélodies qui passent d’ambiances inquiétantes, à envoûtantes, de calmes à rapides pour mieux coller à l’action. Bref, on est autant captivé par le son que par l’histoire dans ce jeu qui nous donne envie d’avancer sans cesse.

Le Gameplay

Le jeu qui est un RPG tactique, en tour par tour, est aussi un jeu d’exploration, à la Mario 64 ou plus récemment Mario Odyssey. Fini les cases pour compter les déplacements, remplacé par des zones, donnant un sentiment de liberté plus important. Outre la quête principale et les drapeaux qui en marquent les points d’intérêts, on trouve des coffres, des passages secrets, des pièces, des souvenirs qui nous en apprennent plus sur l’univers et l’histoire du jeu. Cela est bien pensé car on se prend à vouloir revenir sur une planète pour en dénicher tous les secrets.
Pour ce qui est des tactiques de jeu, vous avez au départ une équipe de deux héros, puis de 3. Il faudra faire évoluer ses personnages avec des XP : sur leur puissances, leurs armes mais aussi leur capacité à se déplacer, et enfin vous devrez gérer votre ensemble de Sparks, qui ont tous des pouvoirs différents et peuvent eux aussi évoluer et être assignés à n’importe lequel de vos héros. Tout cela ayant une importance certaine selon les lieux et les ennemis combattus. Avec les neufs héros du jeu, disposant chacun de leur propre attaque spéciale, trente Sparks aux effets différents, des objets à équiper, des interactions avec les décors, et du calcul des déplacements de chacun, le tout en comptant sur les nombreux ennemis ayant des faiblesses et résistances particulières, les possibilités sont innombrables.A vous de trouver la team Héros / Spark la plus efficace selon le terrain, les ennemis et la situation.

Conclusion

Pour conclure, la BLAKE team a adoré ce jeu dont l’univers est parfaitement réalisé, beau, drôle et divertissant, avec selon le niveau choisi un peu de quoi faire travailler votre sens tactique. On se plaît dans ce monde mi-Mario, mi-Lapin crétin, et on y retourne avec curiosité. Un numéro 2 qu’il ne faut pas louper !

Article écrit par Alexis Dumétier
Entrer
ArchivesMagazineNews de Mode

Hackett London réinvente son image

Blakemag_magazine_HACKETT_JENSON_BUTTON_AW22_cover

Hackett London est fier de présenter son nouveau logo à l’occasion du lancement de sa campagne Automne-Hiver 22, mettant en scène le légendaire pilote de course britannique et champion du monde de Formule 1, Jenson Button.

La marque britannique iconique lance une nouvelle identité graphique avec la présentation de ce nouveau logo inspiré par la simplicité contemporaine des hommes élégants. Le nouveau logo Hackett capture l’essence d’une marque qui se tourne vers l’avenir pour trouver l’inspiration, sans perdre de vue son héritage ou son histoire.

Inspirée par la devise de son fondateur Jeremy Hackett, « Keep it simple », Hackett reprend le fil de son identité britannique. Transformant la typographie de son nom en un Sans Serif contemporain, la marque a simplifié son icône principale (melon et parapluies), pour ajuster son image graphique aux dernières tendances. Pour sa collection Automne-Hiver 2022, Hackett livre sa sélection habituelle de vêtements de qualité avec un twist. Avec des pièces à la fois imprévisibles et uniques, cette collection montre une autre facette de la marque qui ne perd pas de vue son héritage et son ADN britanniques.

Conceptualisée par l’agence de création Comunica+A et photographiée par le photographe de mode et de portrait britannique Charlie Gray, la campagne automne-hiver 22 embrasse l’héritage britannique de la marque et présente les articles saisonniers avec son sens de la sophistication. La campagne met en scène M. Button profitant de la nature automnale et du style de vie campagnard. La collection fait également référence à ses racines londoniennes dans sa palette de couleurs et son expertise vestimentaire. Le confort, la polyvalence et la qualité sont une priorité pour cette saison, soulignant la nécessité de s’adapter à une vie urbaine moderne.

Jenson Button est représenté portant des articles clés de la collection, tels que des vestes Velospeed perméables, des blazers polyvalents et des pulls à col roulé. Une palette de couleurs beige, orange et bleu foncé donne naissance à des pièces polyvalentes dotées d’une élégance intemporelle. L’interprétation par la marque des styles de confection modernes se reflète dans ses tissus en laine de première qualité, tels que le tweed et le mérinos, qui constituent des options de superposition parfaites pour un look d’hiver idéal.

www.hackett.com – @Hackettlondon #HackettxJenson #HowToHackett

Entrer
ArchivesLifestyleMagazine

Orient Express : Luxe, calme & volupté

Blakemag_© Maxime_d’Angeac&Martin_Darzacq_Orient_Express_Accor_cover

Orient Express, c’est un nom qui évoque le luxe, un temps révolu où tout était possible. C’est l’histoire d’un train né d’un rêve, qui défie le temps. Aujourd’hui réimaginé par l’architecte Maxime d’Angeac. Un design inédit, inspiré des années 20, pensé avec les codes du luxe contemporain.
À l’occasion de la semaine de l’art contemporain à Paris, Orient Express, à travers le groupe Accor, dévoile en exclusivité du 17 au 21 octobre, dans un établissement exclusif du 7e arrondissement de Paris. Une révélation à suivre également à Design Miami/, du 30 novembre au 4 décembre, à Miami Beach, en Floride.

Révélé par ses collaborations avec les maisons Daum et Hermès, en partenariat avec le designer américain Hilton McConnico, Maxime d’Angeac réalise depuis 20 ans, des projets de restauration et de décoration de prestige, à l’instar de la Maison Guerlain, avenue des Champs-Elysées, et donne une nouvelle vie aux appartements, châteaux ou villas privés qu’on lui confie.
Fasciné par les grands mouvements artistiques révolutionnaires, amoureux de la Renaissance italienne comme de l’Art déco, féru de romans de voyage, adepte des récits de Jules Verne, d’Henry Miller ou de la bande dessinée postapocalyptique du Transperceneige, l’architecte relève le défi de réinventer l’Orient Express. Une aventure humaine. Le projet d’une vie. Pour écrire la nouvelle destinée d’un mythe.

Maxime d’Angeac, architecte du future Orient Express déclare : « Le point de départ de ce fabuleux projet est un rêve. Une histoire contemporaine qui s’inscrit dans le sillage du mythe Orient Express. Une projection dans une époque, les années 20. Dans la culture du luxe. Et de ses artisans. Tout a débuté autour de dessins, de croquis et de maquettes réalisés à la main. Un travail millimétré. De ce cadre naît un décor. Sans époque. Inspiré par les codes de l’Art déco, des style Empire et contemporain. Un passé recomposé, qui s’affranchit de toutes les modes, pour nous transporter dans une ambiance dénuée de superflu, où chaque détail trouve un sens. Au final, un tableau pour rêver, pensé comme une ambassade du luxe à la française, un écrin raffiné, et sublimé par le savoir-faire et les talents des meilleurs artisans français. »

En 2015, réapparaît au grand jour le Nostalgie-Istanbul-Orient-Express. Un train de légende, disparu, oublié. Et réimaginé aujourd’hui par Maxime d’Angeac et les meilleurs artisans de France. Dès 2024, à l’occasion des Jeux Olympiques de Paris, les premières voitures seront exposées et les voyageurs pourront accéder pour la première fois à bord. Ils découvriront les décors inédits du futur train.
Sébastien Bazin, Président & Directeur-général, groupe Accor : « Nous sommes fiers, aujourd’hui, de révéler les premières images du futur train Orient Express. Une histoire inspirée d’un rêve, un train classé hors du temps, objet de tous les fantasmes et qui devient réalité. Le design de Maxime d’Angeac réveille le mythe avec la révélation de son écrin de luxe, de modernité, et d’élégance à la française. Demain, l’Orient Express rayonnera à nouveau, légitime de ses 140 années d’histoire et tourné vers l’avenir. La légende continue. »

Sous de larges coupoles de lumière au style Second Empire, chacune portée par quatre colonnes, les salons intimes de la Voiture-Bar dévoilent leur tonalité au vert spectaculaire. Du bois de palissandre au marbre couvrant les tables jusqu’au bronze des chapiteaux, l’esprit est élégant et voyageur.
L’aménagement, précis, intelligent, optimise la circulation à bord, ouvre des espaces de convivialité, de rondeur et de liberté. Pièce maîtresse, le bar s’offre un comptoir tout verre et un hommage idéal à Lalique autour d’une œuvre moderne qui revisite les symboles de la maison. À chaque table, une pendule sonne l’heure du cocktail et du dîner. Un bouton d’appel est réservé au service du champagne. Un autre au personnel. Le charme du passé conjugué au présent.

Spectaculaire et inattendue, pensée dans le confort et le luxe, la Voiture-Restaurant du futur Orient Express réinterprète les codes du train de légende.
Inspiré par les motifs des tapisseries signés Suzanne Lalique, et qui entraient dans la composition des premiers trains Orient Express, Maxime d’Angeac réinterprète le motif « rail », détourné sur les cloisons grâce au carton-pierre. Une technique née au XIXème et servant à réaliser des ornements de moulures et décors de plafonds. Sous un plafond miroité, traversé d’une série d’arches reflétant une douce lumière tamisée, tables napées et fauteuils enrobant s’alignent, éclairés des lampes à abat-jour revisitant les modèles originels. Un salon privé fait revivre les panneaux de marqueterie originaux du train. Au fond, derrière une paroi de verre, s’ouvre la cuisine. Un espace réservé au chef et à sa brigade, où l’on devine leurs gestes et leur chorégraphie.

Bienvenue dans le grand luxe, le confort absolu et l’esprit fonctionnel. Pour parer aux lignes et aux plans stricts du train, Maxime d’Angeac
introduit la figure du cercle, porteuse de douceur et d’harmonie. Partout, les angles s’arrondissent. Les fenêtres s’offrent en tableaux sur la nature. Des miroirs sorcière s’amusent des perspectives.
Ici, les cloisons se couvrent de bois précieux et d’un cuir mural qui réinterprète le célèbre motif « rail » de Suzanne Lalique. Les têtes de lit se couvrent de broderies de bois insérant perles de nacre et bronze. Une moquette « comète » invite à la rêverie.
Des niches se parent des panneaux Lalique « Merles et Raisins » originaux, ceux récupérés dans les voitures du Nostalgie-Istanbul-Orient-Express. Les tablettes en ellipse font se poser journaux, objets et souvenirs de voyage. Porte-bouteilles et verres trouvent d’astucieux agencements. En configuration « Jour », canapé et sofa invitent au repos, à la détente comme aux lectures. Et à l’heure de la Grande Transformation (le passage en configuration « nuit »), un lit de 2 x 1,40 mètres invite les voyageurs au meilleur sommeil.
Discrète et étonnamment confortable, la salle de bain aux portes coulissantes se pare de marbre, un cabinet de toilette et un dressing complètent l’aménagement précieux.

Artisan du voyage depuis 1883, Orient Express sublime l’Art du Voyage autour de ses trains de luxe, ses expériences uniques, ses collections d’objets rares. En parallèle du lancement du Orient-Express imaginé par Maxime d’Angeac, Orient Express La Dolce Vita, accueillera ses premiers passagers à bord de ses trains de luxe en 2024. Un maillage qui permettra d’offrir aux invités d’Orient Express toute l’expérience ultra luxe du voyage.

Instagram : @orientexpress
orient-express.com

 

Entrer
ArchivesHorlogerieMagazine

Longines Record Héritage Chronographe

Blakemag_magazine_montre_longines_record_heritage_chronographe_cover

Longines se réinvente encore et toujours au cours de l’année de son 190e anniversaire : un design à l’esthétique vintage enrichit désormais la collection RECORD de son premier chronographe tachymètre. 

Résolument classique, la collection Record est emblématique du savoir-faire horloger de la marque au sablier ailé. A travers cette ligne, Longines exprime toute son essence, faite d’élégance intemporelle et d’excellence. Aujourd’hui, les horlogers de la marque passés maîtres dans la mesure du temps, enrichissent cette collection d’un nouveau chronographe tachymètre qui se distingue par son esthétisme vintage.

 

Les atouts du nouveau chronographe Record :

La Record Heritage se loge dans un boîtier sobre en acier inoxydable de forme ronde. Il affiche 40 mm de diamètre et à peine 13,80 mm d’épaisseur.

La lunette, polie et légèrement biseautée, enserre la glace saphir doucement bombée, recouverte de multiples couches de revêtement anti-reflets. Le cadran noir mat est orné d’élégants chiffres arabes dorés et d’index fins.

L’absence de guichet de date met en valeur le cadran des petites secondes, placé à 3 heures, et celui du compteur des 30 minutes, disposé à 9 heures. L’échelle tachymétrique est positionnée sur l’extérieur du cadran pour une meilleure visibilité.

Un balancier spiral en silicium anime un mouvement exclusif Longines, résistant au magnétisme. Gage de précision et de fiabilité, ce calibre est certifié chronomètre par le COSC. Un balancier spiral en silicium anime un mouvement exclusif Longines, résistant au magnétisme. Gage de précision et de fiabilité, ce calibre est certifié chronomètre par le COSC. Visible à travers le fond transparent du boîtier, il donne vie aux aiguilles feuilles dorées, fines et discrètes.

Déjà sublimé par ces caractéristiques esthétiques, l’esprit vintage de la Record Heritage est renforcé par la finesse de ses poussoirs rectangulaires. Premier chronographe de la collection Record, ce nouveau garde-temps se porte avec un bracelet en acier inoxydable ou en cuir brun surpiqué d’une couture écrue. Le style élégant, les finitions soignées et l’excellence technique de la Record Heritage font qu’elle ornera aussi bien un poignet féminin que masculin. Alors, êtes-vous prêt à mesurer le temps vous aussi ? 

 

Entrer
ArchivesMagazineNews de Mode

STÜSSY x CONVERSE – CHUCK 70 HI & ONE STAR

Blakemag_magazine_Stussy Converse_cover

Stüssy et Converse s’associent pour une nouvelle version des Chucks noirs en chanvre des années 90, en recréant le style et la texture unique sur les Chuck 70 Hi et One Star. Des détails, comme le logo étoilé brodé sur le côté de la paire, incarnent l’authenticité de l’ADN de Stussy et de son attrait pour la côte ouest Américaine. La Chuck 70 porte bien son nom. Elle fait référence aux modèles des années 60 et 70 portées par les joueurs de basket et qui avaient certaines particularité. Notamment, un tissu plus lourd, une semelle intermédiaire plus épaisse et interne plus moelleuse ainsi que le bout de la chaussure si propre à Converse plus petit.

La marque Stüssy s’est développée à une époque où se produisaient des changements d’époque qui encadrent aujourd’hui la culture populaire contemporaine. Emergeant à la fin des années 80 et au début des années 90, Stüssy est née sur la scène du surf en Californie du Sud et a envahi le paysage vestimentaire pour redéfinir le look et l’idéologie des vêtements décontractés. Un label qui s’est développé de manière organique à partir des mouvements de jeunesse et qui, par inadvertance, a révolutionné le secteur de l’habillement. Shawn Stüssy était un surfeur qui avait l’habitude de façonner ses propres planches pour ses amis et les habitants de Laguna Beach, en Californie. Stüssy a commencé à sérigraphier des t-shirts et des shorts pour les vendre avec les planches de surf comme une forme de promotion ; son nom de famille écrit dans un style de main influencé par les
graffitis allait devenir le logo de la société.

La rencontre entre Stussy x Converse ne pouvait donner qu’un résultat à la auteur de la réputation des deux marques. La collection Stussy x Converse est disponible dans le monde entier, dans quelques magasins Chapter et dans une sélection de magasins Dover Street Market ainsi que sur stussy.com

Entrer
1 3 4 5 6 7 48
Page 5 of 48

La Newsletter BLAKE

Chaque mois recevez des offres exclusives, coups de cœur, spots préférés, ventes très privées, sessions de découvertes culinaires et défilés et événements mode.

Le tout, sélectionné par la rédaction.

 

[sibwp_form id=1]